Mille excuses avec notre voyage aux Galapagos, j’ai oublié de poster cet article donc c’est fait.
Petit retour en arrière, nous sommes le 8 octobre :
Réveil majestueux ce matin, la vue est toujours aussi belle. Nous partons vers Guayaquil et nous descendons la cordillère. Nous passons dans la forêt de nuage.
En Equateur, il y a 3 sortes de forêt. La forêt primaire sèche que nous avons vue entre Macara et Loja, la forêt tropicale humide que l’on découvrira en Oriente et la forêt de nuage qui est en fait une forêt humide due au brouillard. Ces sont les montagnes qui retiennent les nuages dans les vallées et qui baignent la végétation d’un brouillard humide qui permettent à la végétation de croitre.
Lorsque nous arrivons à Cochançay, nous retrouvons le climat tropical, les champs de cannes à sucre, les cacaotiers et surtout les bananeraies à perte de vue. La production de cacao en Equateur est très petite mais le cacao est de très bonne qualité. A tester….
Nous nous arrêtons chez un soudeur, Gérard s’est aperçu qu’une soudure sur la barre anti-encastrement à l’arrière du camion avait lâché. Vite fait, bien fait, la soudure a été refaite pendant que l’on nous donnait renseignements sur le pays et sur l’Oriente.
En cadeau, j’ai même eu droit à des bananes rouges. Ce sont, parait-il, les meilleures. Elles sont cultivées localement et ne sont pas ou peu vendues à l’exportation. Et c’est vrai, elles sont bonnes,et,ont une chair beaucoup plus fine.
Nous arrivons à Guayaquil, la circulation est fluide. Nous allons au parking sécurisé de l’hôtel Macaw que les Iovolanders connaissent bien maintenant. L’accueil est super et on nous donne renseignements sur les Galapagos et sur la ville.
Nous sommes le 8 octobre, la veille de la fête de la ville et de Christophe Colomb et c’est la raison de la fluidité de la circulation. Les gens font le pont !
Nous partons diné dans le quartier de Santa Anna. C’est le quartier branché de la ville avec ses hôtels haut de gamme, ses restaurants, ses pubs et ses cafés. Familles et jeunes se retrouvent sur le « malecon », c’est la croisette de la ville qui fait plusieurs kilomètres le long du fleuve
Il fait chaud et une brise marine rafraîchit délicieusement l’air. Nous choisirons un restaurant de poissons et nous profiterons de la terrasse. Ce soir, ce sera parillada de poissons, un vrai régal !
Le lendemain, après avoir confirmation de notre départ aux Galapagos, nous voici de nouveau en ville. La particularité de Guayaquil est que dans le parc face à la cathédrale on trouve des iguanes terrestres au milieu des pigeons et ils font bon ménage. Ils se sont habitués à la ville et ce doit être la seule ville au monde à avoir des iguanes terrestres.
Nous retournons sur le Malecon qui est la croisette de Guayaquil qui fait près de 2,5km de long
C’est la fête, fête de la ville et de Christophe Colomb et ce sont défilés de chars, d’ enfants des écoles, de danses….nous raterons le musée qui sera fermé.
Ce n’est décidemment pas du tout l’image que je me faisais de l’Equateur !!
Nous non plus on voyait le pays un peu comme le Pérou et bien pas du tout . Ici tout est Coran ville et campagne. Pas de klaxon. Civilité aux piétons tout le contraire de bcp de pays !
Saludos Martine un saludo a Gerard
Aun los recordamos en el taller de soldadura en el Ecuador y los platanos rojos
Saludos Joffre. Es un placer tener noticias tuyas. Estamos en Francia porque lamentablemente con el Covid no es fácil viajar pero guardamos excelentes recuerdos de nuestro viaje. Que tengas una buena Navidad. Besos de francia