Du 18 septembre au 21 novembre 2017 : 12000 km sur les routes brésiliennes
ACHATS : Merveilleux, on trouve de tout au Brésil ! Des supermarchés dans toutes les villes jusqu’au grands centre commerciaux (nous n’avons pas fait)
ARGENT : les brésiliens paient tout avec leur carte, de la glace au restaurant, du boulanger au supermarché. Les cartes françaises sont acceptées partout sans problème. Change uniquement dans les villes touristiques. On ne sait pas pourquoi, il faut juste leur dire « credito » pour les cartes étrangères car « debito », ça ne marche pas. Il y a partout des DAB.
BEMVINDO : Bienvenue est le mot clé de tous les brésiliens, nous avons été partout accueilli chaleureusement avec force d’accolade. Les brésiliens sont étonnés de voir un équipage français visité leur pays et ils sont fiers.
BIERE : c’est la boisson par excellence des brésiliens et les bières sont très bonnes
CAMION : Pas de camions 4×4 au Brésil et les brésiliens sont fous de Tanasinh. Si il a été beaucoup photographié sur notre périple en Amérique du Sud, au Brésil, c’était à longueur de journée avec ou sans nous.
CAMPING : les quelques campings que nous avons fait étaient toujours bien entretenus et propres mais nous avons fait 1/4 dé camping pour 3/4 de bivouac
CHIENS : pas de chiens errants. Que des maîtres responsables !
CLIMAT : nous avons aimé la chaleur. Dans notre périple, nous avons peu de pluie et surtout le soleil et la chaleur et nous avons pu apprécié notre clim’ mais nous avons évité la saison des pluies
CORRUPTION : tous les brésiliens se plaignent de la corruption et à tous les niveaux
COCO VERDE : la boisson nationale rafraichissante
DOUANE : passage sans problème et avec le sourire
ESSENCE : le diesel est à environ 85cts d’euro ! heureusement le pays est grand. Nous avons toujours pris le diesel « comun » sans rencontrer de problème particulier.
EAU : on ravitaillait dans les stations services sans souci. On peut aussi avoir de l’eau potable ! On a jamais manqué d’eau.
FRUITS : un régal, de l’ananas à la mangue en passant par tous les fruits, ils sont délicieux et pas chers. Nous les achetions souvent aux vendeurs ambulants en bord de la route.
INTERNET : ça été comme d’habitude la galère sauf les restaurants où en général, ça passait bien
MOUSTIQUES : ce n’était pas la saison des pluies c’est peut-être pour cela que nous n’avons pas eu de problème.
MUSEE : gratuit ou 50% de réduction pour les séniors même étrangers.
PAIN : Beaucoup de boulangerie, on achetait du pain « français ». Il n’avait que le nom mais ….par contre leur « pudding », en fait une crème aux œufs avec du caramel, est délicieux. La recette varie selon les régions.
PEAGES : Autour de toutes les grandes villes, sur tous les axes importants ou touristiques, il y a beaucoup de péages heureusement pas chers. Pour 12000 kms et 40 péages, nous avons payé 50€. Du bonheur ! même si on râlait pour la forme.
PLAGE : les plages brésiliennes sont magnifiques. Au sud, ce sont des longues plages de sable fin sans grand intérêt sauf pour la pêche mais à partir de Santa Catarina, elles sont splendides
POISSONNERIE : enfin des poissonneries ! et du poisson frais et des crevettes sauvages, on s’en est régalés…
POLICE : aucun problème avec la police. Aucun contrôle lorsqu’il voyait que nous étions touristes étrangers.
POUBELLES : pas de poubelles qui traînent partout, le Brésil est propre. Du plus petit village à la grande mégalopole. Bien sûr il existe des exceptions mais rares
RADARS : avec un grand R car il y en a des centaines et peut-être bien des milliers
RESTAURANT : comme partout en A.S, il faut avoir un bon appétit, les plats sont toujours pour 2.
Lanchonnette (resto populaire) au Kg, vous payez ce que vous manger et c’est pas cher
ROUTES : bon état général les meilleures que nous avons eu depuis notre périple en A S certaines ressemblaient à un trampoline par moment. D’accord d’autres étaient très abîmés mais il faut relativiser.
Sécurité : pour tous les voyageurs sur l’A.S c’est le mot clé. A aucun moment, nous nous sommes sentis en insécurité. Lorsque nous avons voulu dormir sur des plages, on nous avertissait si il pouvait y avoir des problèmes (seulement 2 fois). Dans ce cas là, nous dormions dans les villages. Bien sûr, nous avons évité les favellas et dans les grandes villes, nous avons privilégié les campings quand il y en avait.
En fait, nous avons TOUT aimé au Brésil sauf les dos d’âne ou gendarmes couchés, des centaines non des milliers.