1ère étape de la Colombie, Popayan. La route depuis la frontière est bonne mais avec des péages très, très souvent. On paie 9000 pesos, bon il est vrai que le change est à 3500 pesos pour 1€, on est vite millionnaire ici, on peut bien payé un péage! En plus, beaucoup de travaux ralentissent une circulation très dense avec beaucoup de camions.
Tout le long de la route, des Vénezueliens avec femmes, enfants et quelques affaires marchent vers la frontière.
Beaucoup de policiers et l’armée est omniprésente. Quand un militaire fait signe, pouce en l’air, c’est que la zone est sécurisée, nous pouvons circuler sans problème.
Les paysages sont beaux mais la pluie vient régulièrement se déchaîner sur nous. Nous n’avons pas été habitués à la pluie sur notre voyage alors on prend ça avec philosophie.
Nous avons garé le camion à l’Ecoparc de royas del sol à la sortie de Papayan : 2 véhicules sont déjà là, des américains en Ford 550 et des français en fourgon acheté au Chili et qu’ils ont aménagés pour leur voyage.
Michelle et David, les américains nous font visiter leur camion….à l’américaine. Enorme !
Puis nous décidons de partir au restaurant le soir à Popayan . Je vous décris la scène : 2 américains et 2 français en goguette ne parlant pour les uns ni le français, pour les autres ni l’anglais et baragouinant que l’espagnol et avec tout ça, nous avons passé une super soirée. Comme quoi !
Mardi, départ en taxi pour visiter Popayan et son centre historique. Ce ne sont que quelques quadras de rues mais très typiques. L’Eglise San Francisco est pleine, c’est l’enterrement d’un miliaire certainement de haut grade car le quartier est sous haute surveillance et tout le commandement de l’armée colombienne est présent.
Dans la rue, toujours les petits métiers et petits commerçants.
Tiens, une 4L « Tatangelo » (anecdote pour ceux qui ne nous connaisse pas, c’était la couleur des voitures de l’entreprise pendant 40 ans) On ne voyait plus de Renault mais ici, on revoit 4L, 104 et R12 mais aussi des véhicules récents
On décide d’aller à la cathédrale et là, la place est squatté par des étudiants en grève. Cathédrale et musée, fermés !
Nous flânons dans les rues, les maisons sont toutes blanches, pas d’étage, des encorbellements aux fenêtres très typique des villes du sud de l’Espagne
mais quand une porte est ouverte, on peut apercevoir de superbes patios..
Et nous avons été invités à venir les photographier aussi bien que dans les maisons particulières que dans les administrations.
Nous allons visité le musée Mosquera qui est la maison de l’ancien président de la Colombie élu 4 fois de 1845 à 1867. Une guide commente le musée à une classe d’école et se présente pour nous donner les explications sur le musée. Elle est accompagnée d’une chanteuse d’une chorale indigène qui doit chanter à Paris l’année prochaine. Elle nous chantonnera une chanson. Sympa !
Nous passons par le pont en briques à 11 arches, emblème de Popayan. Long de 240m il a été construit au XIXème S.
Déjeuner dans un restaurant près de l’église San Francisco.Comme dans toutes les villes sud-américaines, beaucoup d’églises.
Nous irons faire quelques achats à un centre commercial en sortie de la ville.
Surprise lorsque nous arrivons au camping, Michel et Anette avec leu 6×6 sont arrivés.
European glory, and even after
bride, Julie d’Angenne.
(palimpsests). In the XIII-XV centuries in
or their samples written
drafts of literary works
(palimpsests). In the XIII-XV centuries in
Western Europe also formed
Western Europe also formed
« Julia’s Garland » (fr. Guirlande de Julie)